Enfin, le GRAND DEPART

Publié le par bruno LAURENT

Voila, les petites vacances, en Espagne, avec Audrey sont finies. Je suis dans le train pour Nîmes, sans billet, celui-ci s'arretait à Montpellier, et je me sens seul.... petit coup de blues.... je ne reverrais pas mes enfants avant longtemps et ils vont me manquer. AUDREY, REMI, je vous aime.


Je débarque chez ma soeur, légèrement inquiète car elle croyait mon arrivée moins tardive. Simon, toujours adorable est heureux de me revoir et moi aussi.

Virginie m'apprend tout de suite la bonne nouvelle: elle a pu récupérer ma carte bleue, grace à Isabelle, ma charmante et gentille gestionnaire de mon compte à la poste. Seule interrogation, le code qui ne lui a pas été remis mais qui devrait être le même que celui de ma carte de retrait. Après vérification, c'est exact, donc tout va pour le mieux. Nous sortons tous les trois faire une balade et rechercher deux choses qui me manque encore avant de partir: un impregnateur antimoustique et une pochette de securitée pour y mettre mes papiers. Je trouve tout chez Nature et Decouverte (j'éspère vraiment qu'ils n'ont plus rien à voir avec la secte de la scientologie) et la pochette me plaît tout particulièrement car elle est complètement étanche (celle d'Alex lui rendra ses billets trempés de sueur^^) et doit même flotter sur l'eau grace à un compartiment gonflable.

De retour, je refais mon sac en l'allégeant encore et je donne ma veste en jeans à Arnaud (ca tombe bien, il me dit qu'il pensait en acheter une)

Je passe une dernière nuit dans un lit avant longtemps, marquée par le fait que j'inonde l'oreiller et les draps de lymphe qui s'est écoulée de la boule que j'avais dans le lobe de l'oreille. Je suis plutôt content car cette protubérance m'inquiétait un peu, surtout juste avant de partir.


Le lendemain, je les embrasse fort tous les trois (je ne les reverrais, eux aussi, que dans plusieurs années) et Arnaud me dépose à l'entrée de l'autoroute. Je dois maintenant rejoindre Alexandre à Nice, ou il m'attend chez son ex-femme)


  Un jeune homme me prend rapidement et me dépose à aix en provence. Je le remercie car il se rendais à marseille et s'est légèrement détourné de sa route pour moi (désole, j'avais note le prénom sur mon panneau vileda que j'ai perdu dans un car de Croatie) Je lui indique le raccourci de salon de provence (cité plus haut) et il semble très intéressé par l'information. A Aix, comme toujours, un peu d'attente, mais bientôt une voiture s'arrête et me conduit à la hauteur de St Raphael, dans une station essence (même problème que plus haut pour le prénom). De la, je fait du stop-direct et suis accepté par trois sympathiques portugais qui, après leur travail, rentrent sur Nice. Ils sont dans une 8 places de location et acceptent en plus de moi un jeune couple chanceux qui arrivait juste à propos. Ils sont en vacances ce jour, et partent pour le Portugal au plus tôt, dès l'arrivée pour l'un d'eux. Ils nous déposent en plein centre, devant la gare de Nice. Avec eee je recherche du wifi libre pour récupérer l'adresse d'Olessia que j'ai omis de noter; 50 mètres suffiront et je me met en route, heureux que ce soit tout proche. Je sonne et Alex me répond. Je monte et nous nous retrouvons enfin. Le tandem est formé, le voyage peux commencer, nous partirons dans deux jours car meeting et invitation sont organisées sur place, un dernier au revoir aux amis et à la france.

Je retrouve mon sac à dos, emporté par alex un mois plus tôt, et m'affaire à sortir tout ce qu il y a dans mes deux sacs afin de n'en faire plus qu'un. Dilemme, garder, jeter, donner.... enfin, après moult hésitations, la montagne que je devrais porter sur mon dos et qui sera ma maison pendant plusieurs années est prête.


Un saut à la pharmacie ou une charmante femme fera tout pour m'aider car je me suis trompé d'ordonnance et voulait avoir des comprimés en cas de rage de dents, mon point faible. Elle ira même jusqu'à téléphoner à mon dentiste pour récupérer le nom des médicaments (il sera en vacance bien sur^^) Elle me trouvera tout de même ce qu'elle pense être le plus approprié, sans faire de difficultés pour me les délivrer sans ordonnance. Seul les pilules pour assainir l'eau ne seront pas disponibles et je refuserais de prendre le traitement en cas de palu, trop onéreux.

En ville, nous retrouvons Ali et Marc, qu'Alex à rencontré précédemment et, avec eux, nous cassons la croûte, tranquillement installes sur un banc de la promenade des anglais. Le pain, acheter dans une boulangerie type « luxe » est exécrable, tout mou et la vendeuse nous dira que c'est du à l'humidité !!!! à Nice, sous le soleil !!! Haaa, une petite pensée pour les excellentes baguettes espagnoles achetée près de chez Gemma à Figueres.

Je discute avec un couple fort sympathique de Marseille, avec un jeune petit chiot adorable et plein de poils. Ils adorent voyager et je leur parle de couchsurfing en leur en expliquant l'esprit, qu'ils semblent partager, et les divers avantages. ils s'y intéresseront j'en suis persuadé.

Ce soir, le meeting mensuel de Nice est organisé et nous rejoignons le bar ou il est prévu. Comme personne ne se montre et qu'un léger doute s'installe car il y a deux bar du même nom, je décide avec marc d'aller voir si quelqu'un se trouve au second. Il se trouve de l'autre cote du port alors que nous sommes en vieille ville mais je préfère marcher que de piétiner à attendre. Chemin faisant, nous discutons avec Marc de nos passés respectif et je dois forcer le pas car c'est un bon marcheur malgré son frêle gabarit (c'est son moyen de déplacement favori). Nous faisons « choux_blanc » et de retour, nous voyons avec soulagement Alex et Ali attablés avec quelques CS. Lol, aucun Nicois, ce sont des cannois et antibois qui ont rejoins le meeting de Nice. ainsi que deux SUEDOIS; Les Nicois, dont l'ambassadeur/organisateur daignerons faire leur apparition que beaucoup plus tard. Violeta, une jeune et belle polonaise, vrai machine à parler, recherche un couch car elle viens de finir de travailler sur un bateau et à retrouvée un emploi a terre dans un restaurant. Alexandre lui propose de dormir chez son ex, en espérant que cela ne posera pas trop de problèmes. La soirée se passe bien et après la venue des retardataires, 3 – 4 heures après, nous sommes une quinzaine à faire vivre ce meeting.


Nous rentrons donc avec emi (surnom de violeta sur CS) qui ne se séparant jamais de ses rollers, les traînent derrière elle tel un petit chien. Alexandre, toujours galant avec les jolies filles (allez^^, les autres aussi) lui laisse le lit et s'installe par terre, me laissant un petit couch ou je vais passer une nuit moyenne, plié en quatre.

Le lendemain, après avoir essuyé une courte séries d'invectives de la part d'Olessia (et elle avait sommes toutes un peu raison) Emi nous quitte pour aller travailler. Nous ne la reverrons plus car on la loupera au meeting plage de l'après-midi ou nous devons nous rendre.

Georges (nouvellement promu ambassadeur CS d'aix-en-provence apres qu'Alex ait délaissé ce poste pour passer ambassadeur itinérant) et patounette de Marseille doivent venir en moto pour nous faire un dernier adieu. Ils arrivent alors que, inquiet du retard nous cuisons sous le soleil de la cote d'azur avec Marc et Ali. Celui ci nous a invité à manger et à dormir chez lui (et cela bien qu'étant rmiste !! on trouvera souvent plus de générosité chez les pauvres que chez les riches). Après cette chaude après-midi à la plage, nous raccompagnions georges et patounette à la moto et, non sans les avoir fortement remerciés d'être venu juste pour nous dire au-revoir, on les regardent disparaître dans une pétarade fortement sonore.

Nous prenons rendez-vous avec Marc pour nous rendre chez Ali et nous remontons à l'appart pour prendre nos affaires. Chargés comme des mules, nous prenons le tram vers le lieux de rencontre. Alex, comme souvent à la recherche de tabac descend toutes l'avenue jean medecin sans trouver de tabac d'ouvert et me rejoins dans le tram. Sur le chemin, il en avise un d'ouvert et saute sur le trottoir en me disant qu il prendra le suivant et que je n'aurait qu'a l'attendre à l'arrêt. J'y retrouve Marc et nous l'attendons ensemble. Une fille complètement « barrée » m'interpelle en me demandant de l'eau. Je lui en donne. Elle nous débitera des histoires complètement délirante sur son père, ami de jean medecin, sur le château de famille qu'il faut vendre, sur son psy (le meilleur de la côte bien sur^^) et son bouddhisme particulier. Une vrai folle, qui me donnera un tout petit bout de shit pour me remercier, que je redonnerais à Ali pour les mêmes raisons^^. Alex arrive et nous nous rendons chez Marc afin de proposer à son petit ami de se joindre à nous pour le repas, ce qu'il accepte non sans se faire prier. C'est très petit ou ils habitent mais ca ne les empêchent pas de recevoir des CS pas trop difficiles. Ensuite nous rejoignons l'appartement d'Ali. Il nous a préparé une bonne salade rafraîchissante et un plat de viande en sauce. J'apprécie d'autant plus que je sais que ses finances sont très légères. La soirée se passe en discutions et bientôt Marc et son ami prennent congé. Nous préparons nos couches, à même le sol et je profite de la prise de courant pour utiliser eee et remplir mon blog (sur lequel je serais toujours en retard, par exemple, a l'heure ou j'écris ces lignes, je suis à Podgorica, capitale du Montenegro)


De bonne heure le lendemain matin, on prend tram et bus (à un euro dans tout le département) pour rejoindre Vintimille, première ville Italienne après la frontière. Baye-baye la France, bonjour le voyage. Nous recherchons, chargés de nos sacs, un endroit pour faire du stop vers Milan. On a été prévenu, le stop est difficile en Italie...... nous allons le confirmer par l'expérience. Pas une voiture ne s'arrêtera pendant le long moment ou nous tendrons le pouce. Il y aurait une solution efficace, se faire greffer une belle paire de seins et nous serions pris (au sérieux^^ par ces machos italiens). Une gentille femme nous conseillera de prendre le bus pour San Remo ou, nous dit elle, nous aurons plus de chance. bon, soit, recrapahutage chargé pour se rendre à l'arrêt et nous voilà à San Remo. En passant devant la gare, Alexandre décide de se renseigner sur les prix. A vrai dire ca m'arrange, la halte est bienvenue, la chaleur plus le sac, c'est infernal. Il apprend que pour 27 euros on peux se rendre directement à Triestre, dernière ville Italienne avant la Slovenie. On discute, soupèse le pour et le contre et je le laisse décider, pensant que vu ses finances limitées il va en tenir compte. Il décide cependant d'opter pour le train et je plussois. Je vais à mon tour à la pêche aux renseignements pour m'informer de l'horaire du prochain train. Le guichetier m'imprime un horaire que l'on ne peux prendre que le lendemain ! je retourne à la charge et lui explique que je veux partir aujourd'hui. Heureusement, les italiens comprennent bien le language des mains^^. Je lui redonne mon carton et sur l'envers s'inscrivent de nouveaux chiffres. Les informations en mains je regarde l'horloge, le depart est dans une demi-heure. Je le remercie et retourne rapidement auprès d'Alex pour l'en informer. On charge nos sacs sur nos épaules endolories et allons acheter nos billets. Le prix demandé par la préposée est supérieur à celui annoncé précédemment! Le train régional Venise-Triestre n'avait pas été pris en compte: Nos bourses sont délestées de 7 Euro supplémentaires et après le compostage (important en Italie comme en france, il suffit de demander à Jules^^ elle en a fait l'amère expérience dans les deux pays) on s'engage dans la galerie d'accès ou se trouve un tapis roulant. Avec le sac il est bienvenu et je comprend pourquoi il existe en me rendant compte de la longueur du chemin à faire pour accéder aux quais, plus de cent mètres c'est sûr. Alex, toujours pressé le fait en marchant tandis que j'économise mon dos en reposant le sac sur la mains courante. C'est en fait une succession de tapis-roulant dont le dernier ne fonctionnant pas me remet en route. Je rejoins Alex sur le quai et sans avoir eu le temps de fumer une cigarette, le train arrive. Nous choisissons un compartiment vide et on s'installe confortablement sur ces sièges des wagons italiens qui en se tirant forment une couchette avec leur vis à vis. Quelques stations plus loin, une famille allemande, en ronchonnant car nos deux sacs prennent les trois quart de la place réservée aux bagages, nous envahi de ses valises tout en s'installant dans le compartiment voisin. Plus tard, délogés par d'autres voyageurs, ils nous envahirons physiquement, ayant réservés leurs places dans notre compartiment. Le train deviens bondé et une jolie jeune fille, ayant une réservation pour le siège d'alex, s'en empare pendant que celui ci s'était absenté. Quelque temps après, je lui cède ma place et je finirais dans le couloir, tantôt sur un strapontin, tantôt debout dans ce train plus que complet du à afflux des touristes mal géré par la sncf italienne. C'est sensiblement semblable à la France, le bordel et la saleté en plus. Comparé à l'Espagne d'où je viens et que je pensais similaire, il n'y a pas photo. L'un ma semblé bien supérieur à la France sur bien des points et le second quelque peu arriéré. Enfin le voyage se termine tant bien que mal et nous arrivons à Milan. Nons avons une heure avant le depart pour Mestre, la gare de Venise, que nous utilisons a refaire le plein d'eau à une fontaine sur l'esplanade de la gare et a acheter quelques victuailles pour nous restaurer dans le train.


Le voyage se passe sans problemes et nous prenons ensuite un train régional, sans compartiments mais avec des sièges d'une taille respectable (impec pour Alex^^) pour arriver dans la soirée à Triestre.

Il nous faut trouver un lieux ou passer la nuit

et faute de mieux nous allons rester dans la gare, avec quelques autres voyageurs disséminés ca et la. Je sors faire un tour pour peut etre trouver un meilleur endroit, mais à part un petit parc en face, occupé par des clochards je ne trouve pas de meileur endroit et aucun commerce d'ouvert. Un bruit aigu venant d' un appareil électrique sera présent toute la nuit et nous "prendra la tête". Un groupe de trois jeune filles dors près de nous. L'une d'elle s'étalle, complètement relachée, sur le sol, tant qu'elle en est belle. Au matin nous apprendrons que ces trois françaises se rendent à un festival de musique en bosnie, elles même musiciennes, ferons un mini concert avant que de prendre leur collation matinale. Je les en remercie, Fleure (violon), Lise (accordéon) et Lucie (clarinette) car j'ai pris plaisir à les écouter. Un mini market dans la gare me permet de prendre un ptit dej normal (la brique servant directement de bol). 

Nous rechargeons nos sacs et traversons une partie de la ville. Le stop ne marchant vraiment pas, nous prenons une succession de trois bus de ville (sans les payer) qui nous mènent à la frontière. Nous ne rencontrons personne, pas un douanier, la Slovenie faisant partie de la CEE, tout juste un magasin free-shop, un restaurant et une station essence ou les Italiens viennent se ravitailler, l'essence y étant un peu moins chère.


Courageusement, nous reprenons le stop en èspérant que le changement de pays va nous être favorable.

Mais la route est peu passante et la plupart des voitures sont italiennes et ne viennent que pour faire le plein d'essence à moindre frais. Au bout de plusieurs heures, tant pis, pour quelques centimes le bus nous emmènera vers Koper à 50 kilomètres de là. Nous débarquons à la gare des bus qui surplombe la ville et une jeune femme en uniforme nous aborde et nous demande nos passeports. Le contrôle se passe bien et ils rigolent même alors que nous leurs expliquons notre voyage autour du monde.... je ne suis pas sur qu'ils pensent que ce soit possible. Sue notre demande, ils indiquent la direction ou se trouve un cybercafé. Sur le chemin, un adolescent parlant bien anglais et paraissant sur de lui, nous indiquera un autre lieu, plus proche, ou nous ne trouverons rien et qui nous fera faire un grand détour.... avec la chaleur et nos sacs, on s'en serait bien passé. Nous finissons par trouver et on peut enfin accéder à nos mails et s'occuper des requêtes CS. Plus tard, un jeune homme à vélo nous informera qu'il y a du wifi libre juste devant le cybercafé !!!! Nous n'avions même pas pensé à tester. Il faut maintenant que l'on trouve ou passer la nuit. Alex rencontre une jeune fille toute tatouée et celle ci lui indique un « freecamp » toléré, près d'un camping ou se reunissent des artistes et autres routards. pour s'y rendre, il faut prendre un bus qui s'avère être un taxi-bus et qui nous déposera devant le camping. C'est la nuit et la recherche du lieu prend un bon moment. Il faut traverser un parc parsemé de sculptures et longer le camping jusqu'à une langue de terre entre une mini falaise et la mer. Personne surt les lieux si ce n'est des voix venant du haut de la dite falaise. Dans le noir, des animaux bougent et font des bruits bizarres.... Et Alex n'est pas rassuré^^. Il refuse de planter la tente à cet endroit ainsi que de se renseigner auprès des voix entendues en hauteur et décide de s'enquérir du prix du camping. Les premières personnes rencontrées nous le disent, 10 euros. malgré tout il traverse tout le camp, et il est long (avec le sac je commence à en avoir marre) pour s'etonner ensuite du prix (identique!) annoncé par le personnel à l'entrée. on tergiverse et tandis que, un peu énervé je décide de me poser sur un espace étroit d'herbe le long d'un jardin privatif, juste devant l'entrée du camping, Alex décide lui d'y passer la nuit. Je ne voulais pas payer 10 euros (on devait voyager pour 5 euros par jours^^) et j avais la flemme et une grosse fatigue qui m'empechaient de retourner à l'autre bout du camping, à l'endroit supposé du free camp. Je passais sommes toutes une assez bonne nuit, enroulé dans une légère couverture. Au matin, Alex, frais et dispo après une bonne douche viens me réveiller. Ayant prévu un litre de lait la veille, je déjeune tranquillement, comme à mon habitude.




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M
Bonsoir ! <br /> Je m’appelle Marie Lopez, je veux partager avec vous mon histoire. Il y a de cela 3 mois environ, c'était le calvaire dans mon foyer. Les disputes entre mon mari et moi se répétaient jusqu'au jour ou il quitta la maison. Suite à cela j'en ai parlé avec une amie qui m'a donné les coordonnés d'un Marabout Nabil à qui je devais m'expliquer. Comme j'aime beaucoup mon mari j'ai contacté cet Grand t’HOMME envoyer par Dieu pour m’aider qui m'a promis de me le faire revenir à la maison. J'ai donc suivie ces conseils et également fait des rituels. Exactement 3 jour après mon époux est revenu en me suppliant de lui pardonner pour tout ce qu'il a pu me fait et bien sur on s'est réconcilié. Ce fut un véritable miracle dans ma vie. <br /> Alors pour tous vos problèmes (ruptures amoureuses ou de divorce et L'Envoûtement Amoureux/L'entente Sexuel sur une Personne , Blocages Sentiments Amoureux Perdu , Sauvez/Protéger Son Couple , Annulé une Rupture/Séparation , <br /> Éloignement Rivalité/Jalousie ; Fidélité ) je vous conseille de faire comme moi. <br /> Je vous assure que vous trouveriez satisfaction ou résolution à vos problèmes. Pour cela voici ses coordonnées : <br /> <br /> Email :maitrenabil2017@outlook.fr<br /> Telephone :0022966380551<br /> <br /> <br /> Merci
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